VeraCash reacts to legal proceedings against a British competitor

Bordeaux, 9 October 2019

We had not planned to issue a communication about the proceedings under way for one of our British competitors, Glint Pay, as well as a German competitor, PIM Gold, but we are now breaking our silence to reassure those few customers who have expressed their concerns to us.

Background

The British company Glint Pay, which offers a gold-backed payment card similar to the VeraCash card, is now in administration. The United Kingdom’s FCA (Financial Conduct Authority) launched the proceedings after a loan went unpaid.

We decline to comment on our competitor’s situation, let alone rejoice in it. Competition presents many advantages from a consumer perspective and, as a business, it forces us to systematically re-examine ourselves so that we can tirelessly offer better products and services to our members.

VeraCash and Glint Pay, similar concepts, and yet…

Although, on the face of it, the Glint Pay concept resembles that of VeraCash, the business models are completely different. Glint Pay issues e-money, which is not the case with VeraCash. This major point of divergence between the two business models makes all the difference: being an issuer of e-money entails great responsibilities, both structural (with many legal constraints like direct inspections by the FCA and minimum capital requirements) and financial, responsibilities which a “simple gold merchant” would struggle to fulfil without taking on substantial debt – which undoubtedly explains the extensive financing campaigns run by the British firm.

An e-money issuer’s primary commitment is to segregate all its customers’ funds in a provable way. This is all the more true, given that Glint offers a multi-currency service, so each euro or pound purchased must appear in the relevant account. This is meant to ensure the company’s solidity in the event of massive cash withdrawals, a requirement from which banks are exempt.

As a result, the FCA’s investigation pertains to those funds, not to their equivalent weight in gold owned by the customers. In fact, the FCA mentioned this fact in an official statement: “This activity is not regulated by the FCA, and holdings in gold are not subject to safeguarding requirements”.

The situation is completely different for VeraCash: first, because we do not issue e-money, and second, because we do not offer either suspense accounts or multi-currency accounts – although we are not necessarily opposed to the idea of incorporating this type of services, we have decided to specialize in precious metals (GoldSpot, GoldPremium and silver) in particular. Consequently, the funds we receive are immediately converted into precious metals. Our annual audit reports can even be reviewed to verify the weight of the gold, silver and diamond counterparts of VeraCash accounts.

To provide a brief history, our then partner payment institution Aqoba went bankrupt in 2014. However, because our members’ accounts were not – and are not – cash accounts, none of them were negatively affected by that unfortunate news (no loss of euros, with their gold being continuously stored at the Free Ports of Geneva). We were then able to transparently identify a new partner to issue new VeraCash cards and continue our business unimpeded. And this would still be the case if our current partner were to encounter any difficulties, in turn!

Our core business is to store gold on behalf of third parties and, after 10 years of experience, we can affirm that our business model yields growth which may be slower but which is above all long-lasting. We chose it with pride, and it is thanks to that very model that we are now able to offer a service like VeraCash, that is both safe and innovative!

VeraCash safeguards our customers’ assets

VeraCash does not operate from a perspective of “cash burn”. We did not raise millions of euros just to spend them on marketing and mass customer acquisitions, as British and American companies tend to do.

Our philosophy hinges more on controlled growth, meaning slower growth, and on maintaining our financial equilibrium in the interest of our company’s long-term survival. This also explains why we sometimes need to adjust our business model (commissions, for example) in order to maintain that financial balance.

In addition, VeraCash benefits from the AuCOFFRE.com Group’s 10 years of experience managing physical precious metals stored in its vaults at the Free Ports and Warehouses of Geneva. All our procedures have been approved by our different supervisory authorities: the ACPR in France and French and Swiss customs. For more information about the probity of our approach, please do not hesitate to contact AMUAC, the AuCOFFRE.com and VeraCash User Members’ Association. That association is unique in its kind, participating in audit operations and verifying the probity of the procedures.

We would like to reassure all our current and future members that VeraCash created the market for gold-backed cards in 2012, a business which is now tried and tested, and are working to become a key actor in the decades to come!


VeraCash réagit suite à la procédure qui vise un concurrent anglais

Bordeaux, le 9 octobre 2019

Nous n’avions pas prévu de communiquer sur la procédure en cours concernant l’un de nos concurrents anglais, Glint Pay, ainsi que d’un concurrent allemand, PIM Gold, mais nous sortons du silence pour rassurer nos quelques clients qui ont exprimé leurs craintes.

Contexte

Glint Pay, une société de droit anglais, qui propose une carte de paiement adossée à l’or similaire à celle de VeraCash, est entrée dans une procédure d’”administration” (équivalent d’un redressement judiciaire en France). La FCA, l’autorité des banques et entreprises financières en Grande-Bretagne, a lancé cette procédure suite à un emprunt non payé.

Nous refusons de commenter la situation de notre concurrent et encore moins de nous en réjouir. La concurrence présente de nombreux avantages d’un point de vue client et en tant qu'entrepreneur / entreprise, elle nous oblige à nous remettre systématiquement en question pour proposer sans cesse de meilleurs produits et services à nos membres.

VeraCash et Glint Pay, des concepts similaires mais…

Bien que le concept de Glint Pay soit frontalement similaire à VeraCash, les modèles d’affaires sont totalement différents. Glint Pay est émetteur de monnaie électronique, alors que ce n’est pas le cas pour VeraCash. Ce point majeur de divergence entre ces deux modèles d’affaire fait toute la différence : en effet, être émetteur de monnaie électronique implique de grandes responsabilités, à la fois structurelles (beaucoup de contraintes légales, telles que des contrôles directs de la FCA ou exigences de fonds propres), et financières, qu’un “simple vendeur d’or” aurait du mal à assumer, sauf à s’endetter lourdement - ce qui explique très certainement les levées de fonds conséquentes de l’entreprise britannique.

L’engagement principal d’un émetteur de monnaie électronique est de cantonner l’intégralité des fonds des clients, et ce, de façon prouvable. A plus forte raison que Glint propose un service multi-devises : le moindre euro ou la moindre livre acheté(e) doit être présent(e) sur les comptes concernés. Cela permet d’assurer la résistance de l’entreprise en cas de retraits de liquidité massifs - une contrainte dont les banques sont exemptées.

Ainsi, l’enquête de la FCA porte sur ces fonds-là, et non pas sur l’équivalence en poids d’or que les clients possèdent. La FCA le mentionne d’ailleurs dans son communiqué officiel : “This activity is not regulated by the FCA, and holdings in gold are not subject to safeguarding requirements” (“Cette activité [ndlt : l’achat d’or] n’est pas régulée par la FCA, et les propriétés en or n’ont pas été sujettes aux exigences en matière de protection”).

La situation est ainsi complètement différente pour VeraCash : d’une part, parce que nous ne sommes pas émetteur de monnaie électronique, et d’autre part, parce que nous ne proposons ni compte d’attente, ni compte multi-devises - même si on ne serait pas contre l’idée d’intégrer ce type de services, nous avons décidé de nous spécialiser particulièrement dans les métaux précieux (GoldSpot, GoldPremium, et argent métal). Ainsi, les fonds que nous recevons sont immédiatement convertis en métaux précieux. Vous pouvez d’ailleurs consulter les audits annuels pour vérifier la contrepartie en poids d’or, d’argent et de diamant des comptes VeraCash.

Pour la petite histoire, en 2014 notre partenaire établissement de paiement de l’époque (Aqoba) avait fait faillite. En revanche, puisque les comptes de nos membres n’étaient pas, et ne sont toujours pas, en devise, aucun d’entre eux n’a été négativement impacté par cette regrettable nouvelle (pas de perte d’euros, et leur or conservé de manière continue dans les Ports Francs de Genève) ; nous avons pu, de manière totalement transparente, trouver un nouveau partenaire afin d’éditer de nouvelles VeraCarte et continuer notre activité sans encombre. Ce serait toujours le cas si notre partenaire actuel venait à son tour à être en difficulté !

Notre métier est de conserver de l’or pour des tiers, et après 10 années d’expérience, nous pouvons vous affirmer que c’est un modèle d’affaire qui nous permet peut-être une croissance plus lente, mais surtout plus pérenne. Ce modèle, nous l’avons fièrement choisi, et c’est grâce à celui-là même qu’aujourd’hui nous pouvons vous proposer un service comme VeraCash, sûr mais innovant !

VeraCash assure ses arrières

VeraCash n’est pas dans une logique de “cash burn”. Nous n’avons pas levé plusieurs millions pour les dépenser en marketing et en acquisition massive de clients comme savent le faire les entreprises anglo-saxonnes.

Notre philosophie est plutôt d’avoir une croissance maîtrisée, donc plus lente, et de conserver notre équilibre financier de façon à pérenniser notre activité sur le long-terme. Cela explique aussi que des adaptations de notre modèle d’affaire (commissions par ex.)  sont parfois nécessaires pour ajuster et maintenir cet équilibre financier.

D’autre part, VeraCash bénéficie de l’expérience de 10 ans du groupe AuCOFFRE.com, dans la gestion de métaux précieux physiques gardés dans ses coffres aux Ports Francs et Entrepôts de Genève. Toutes nos procédures sont validées par nos différentes autorités de tutelles : l’ACPR et les douanes française et suisse. Si vous souhaitez en savoir plus sur la probité de notre approche, n’hésitez pas à contacter l’AMUAC, l’Association des Membres Utilisateurs d’Aucoffre.com et VeraCash. Cette association, unique en son genre, participe aux opérations d’audit et vérifie la probité des procédures.

Nous tenons donc à rassurer l’ensemble de nos membres actuels et futurs, VeraCash a créé le marché des cartes adossées à l’or en 2012, aujourd’hui notre activité éprouvée, et nous travaillons à devenir un acteur incontournable des 10-20 prochaines années !